Ce mémoire de recherche, écrit par Malou Verlomme,dresse un historique des ruptures technologiques au sein du développement des industries de l’écriture typographique. Malou Verlomme opère un travelling sur des travaux (dessin de caractères ou de glyphes) référencés, sur des réflexions critiques émanant de graveurs, dessinateurs, créateurs, designers : un débat dialectique entre corps/gestes techniques/contexte technologique et rôle/dénomination/situation de ces inventeurs d’écriture  préinscrite .

http://academic.typeculture.com/wp-content/uploads/2016/02/tc_article_34.pdf

http://wit-knits.tumblr.com/

Merci à Charlotte

http://tools.yoolib.com/Ybook/index.php?user=bmsaintomer&filemedia_id=641&menu_left_visible=1&menu_left_type=thumbnail&gotopage=0

La totalité d’un exemplaire de la B42 qu’héberge la Bibliothèque de Saint Omer est accessible (via Gallica, par exemple) parmi les ressources numériques de la Bibliothèque de l’Agglomération de Saint Omer. À la facture très homogène des compositions typographiques de la B42 répond le soin apporté à cette publication numérique : on peut dès lors, autrement qu’à Mayence (musée Gutenberg) par exemple, exercer ses yeux à deviner un peu du texte latin de la Vulgate, observer les occurrences imprimées des types, comparer les variantes de certains caractères typographiques de l’atelier mayençais avec le tableau qu’en a dressé Guy Bechtel (cf. p.443 in Gutenberg et l’invention de l’imprimerie, G. Bechtel, Fayard éd., Paris, 1992)  —ce dernier, en p.448 de son ouvrage (op.cit.) reproduisant une partie de l’enquête menée par A. Ruppel (Die Technik Gutenbergs und ihre Vorstufen, 1961)— ou encore avec l’œil des caractères imprimés qu’aligne en p.62 et p.63 du tome 1 de son Histoire de l’écriture typographique (Atelier Perrousseaux éd., Méolans-Revel, 2005), Guy Perrousseaux, empruntant quant à lui à Gottfried Zedler (Die alteste Gutenbergtype, Mainz, 1902) : à suivre..

http://tools.yoolib.com/Ybook