Flux

4 commentaires

Le graphisme en jeu

  1. Cela n’est pas faux. C’est aussi une des difficultés de la définition d’un sujet de diplôme supérieur. Assez large et riche pour pouvoir engager une réflexion soutenable dans un mémoire d’une centaine de pages et un travail d’un an. Assez précis pour délimiter un territoire et des pratiques spécifiques. Ceci dit, il me semble que les projets développés par Killian, François (et les autres) relèvent d’une certaine singularité.

  2. Tout ceci est vraiment bien, rĂ©ellement, mais j’ai l’impression que le jeu, tout comme l’indĂ©cision vue prĂ©cĂ©demment, englobe tellement de notions et de possibilitĂ©s que finalement tout pourrait passer sous leur emblème… non ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *



Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>

François Havegeer est un garçon rigoureux qui vient d’obtenir son diplôme supérieur avec mention en abordant, déni de l’esprit de sérieux oblige, la question du jeu dans le graphisme et de ses enjeux. Le jeu comme esprit, le jeu comme outil ou comme référence, le jeu comme espace de liberté et d’aléatoire paradoxalement strictement règlementé. François a ainsi notamment conçu des livres choisis (pas moins que le Discours de la méthode de René Descartes ou Le cornet à dés de Max Jacob…) en mettant en jeu toutes les dimensions microtypographiques des ouvrages (couleur, typographie, corps…) par le truchement de protocoles stricts et de l’aléa des jets de dés ou de la révolution du boulier…

Meta

Entrevue

Beauregard