
Umberto Eco, Derrière, les portes par Teri Wehn Damisch, 2012; 52′
« Je suis fasciné par le mensonge parce que je suis un sémioticien et que je m’occupe de et des langage(s). La force du langage ce n’est pas de pouvoir dire ce qu’il y a là . C’est celle de pouvoir dire ce qu’il n’y a pas. »