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Jean-Luc Mylayne

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mylayneB10

n° B10, November-December 2000

Jean Luc Mylayne questionne la photographie comme mĂ©taphore d’un regard et comme espace d’une durĂ©e. Ses photographies renvoient au temps long et Ă  la « lente patience Â» de l’espace construit de la peinture.

mylayne410

n°419, Avril-Mai 2007

Lors de ses pĂ©rĂ©grinations il choisit des espaces photogĂ©niques, on pourrait dire pittoresques, dignes d’être peints, dignes d’être captĂ©s et rendus au regard des spectateurs. Puis il attend. Ce n’est pas un hasard si ses photographies sont titrĂ©es d’un laps de temps (gĂ©nĂ©ralement assez long). Il attend ce fameux « instant dĂ©cisif Â», cet arrĂŞt sur image, hasard objectif presque magique de la focalisation optique ou oculaire. De la « justesse Â» de l’ordre de la reprĂ©sentation.

mylayne186

n° 186, January February 2004

mylayne320

n° 320, April May 2005

Jean Luc Mylayne parle des temps répétés de la collection et du trouble de la fixation oculaire. On ne sait jamais trop vite ce qu’il y a à voir dans ses images décentrées à la netteté étrange et pourtant si naturaliste. Si proche de la profondeur de champ courte et mouvante de notre champ visuel naturel. Ses photographies dûment numérotées dans leur ordre de captation ou de révélation répètent à l’envi, selon la procédure conceptuelle qu’on sait, la magie du surgissement de l’événement dans notre champ visuel incertain.

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