Flux

Pas de commentaires

Learning from roadside

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *



Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>

Amarillo_03b

Roadside architecture

Karine Cossette qui expose actuellement Ă  l’atelier punkt s’intĂ©resse Ă  cet imaginaire cinĂ©matique et automobile nord-amĂ©ricain : Ă  cette Ă©conomie sĂ©miotique qui fait de tout Ă©lĂ©ment du paysage un signe surjouĂ© de lui-mĂŞme, aux confins du stĂ©rĂ©otype Ă  la naĂŻvetĂ© dĂ©sarmante, du symbolique fascinant et du monument d’attraction : une Ĺ“uvre de mĂ©moire exemplaire de la puissance privĂ©e prenant possession de l’espace public, entre strip, trip, et road-movie… Un « enchantement du quotidien Â» qu’elle va rechercher aussi dans l’envers du dĂ©cor, soit les dĂ©chets bien triviaux d’une sociĂ©tĂ© du divertissement et du fĂ©tiche de la marchandise (illustrations 2 et 3).

0492010

Karine Cossette

0562010

Karine Cossette

Debra jane propose justement sur son site bien nommé, roadside architecture, une incroyable collection de ces architectures de routes américaines, toutes faites de lettrages ostentatoires, d’attractions publicitaires surannées, de merveilles de masse et de simulacres forains (illustrations 1 et 4). Où l’on apprend que l’architecture populaire américaine ne se nourrit pas que de canards…

MagicCarpet_04

Roadside architecture

Meta

Entrevue

Beauregard