Flux

Pas de commentaires

Marius Lundgard

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *



Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>

L’excellent Marius Lundgard propose un abécédaire morphique de l’entre, passant en dégradé de forme d’une lettre à l’autre. Il l’utilise pour inscrire sur l’écran les vers interpolés du palindrome fameux de Virgile In girum imus nocte et consumimur igni (Nous tournons dans la nuit et nous sommes consumés par le feu).
 

Vers qui constituent aussi le titre du non moins fameux film de 1978 de Guy Debord, manipulateur du chiasme s’il en est, posant dix ans après un regard sans doute désabusé, en tous cas distancié et sentencieux, sur l’échec des promesses de 68 et, peut être sur ses propres ambitions esthétiques et politiques.
 

Peut être bien qu’au sein du capitalisme, hier déjà polymorphe et capable de tout récupérer, aujourd’hui triomphant et auto-proclamé sans ailleurs, toute condamnation du spectacle ne peut déboucher que sur un spectacle de la condamnation…

Meta

Entrevue

Beauregard