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Roselind, Martijn, l’index et la réticence

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Martijn Hendriks aime l’étrangeté des images dans lesquelles il prélève ou dissimule des éléments signifiants.
Sa dernière expérience consiste à venir manifestement occulter par de violents caches noirs les signes visuels et linguistiques appartenant au champ sémantique de l’art dans l’essai manifeste de la fameuse historienne de l’art Roselind Krauss « Sculpture in the expanded field ». Les fins rhétoriciens auront reconnu dans cette proposition la figure de la réticence qui assigne au récepteur le soin de combler les manques volontaires d’un message.
Malin et agissant, cette façon de dissimuler les signes de l’art chez celle qui fut la théoricienne structuraliste de l’index en art, cette capacité du signe d’indiquer son objet par contiguïté. Car cette réticence du texte théorique à sa référence artistique ouvre son champ de signification en le désignant, justement, comme une proposition artistique…

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